Dans sa bonté habituelle, le 18 décembre 2023, le pape a autorisé, par déclaration doctrinale, la «bénédiction» des couples «irréguliers», entendez homosexuels, couples non mariés, remariés et divorcés! Pour ces fautifs, point de liturgie, mais une union en catimini. Notre chef spirituel en a même précisé les conditions générales: pas de cadre liturgique, aucun lien avec les mariages civils, sans vêtements rappelant ceux des mariés, et sans gestes ni paroles rappelant le mariage religieux, le vrai.

Dans la pleine force de l’âge, notre François avait déjà dit pour les homosexuels que Dieu voulait le bien de ces couples, qu’il ne fallait pas les juger et que ces unions ne constituaient pas des crimes, mais… des péchés! J’en perds mon latin de messe!

Relisons le catéchisme de l’Eglise catholique pour y voir plus clair. L’adultère, le divorce, le remariage et l’union libre sont de graves offenses à la chasteté du mariage, lequel est indissoluble comme on le sait. L’homosexualité, elle, est considérée comme gravement contraire à la chasteté et… ne saurait recevoir d’approbation en aucun cas.

Un prêtre qui bénit maintenant ces péchés gravement contraires à la loi divine et à la fin dernière de l’Homme? Allez comprendre… Conseillons aux fautifs de se confesser avant que leur stupre ne soit béni par ce notaire consacré, dont il faudra vérifier les pouvoirs. Quant à la formule de bénédiction, je laisse l’Eglise l’imaginer, comme le cadre (salle de bistrot, au clair de lune, etc.) et les costumes autorisés (shorts, bermudas, bikinis, etc.).