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Etudes de médecine: Recalés, exilés ou reconvertis, ils témoignent

La Suisse a mal à la formation de ses futurs médecins. Recalés, exilés ou reconvertis, ils témoignent

En décembre 2020, Marco Cecconi étudiait les sciences biomédicales à l’Université de Fribourg. N’ayant pas réussi à intégrer le cursus de médecine humaine, il travaille désormais en tant qu’ambulancier. © Charly Rappo – archives
En décembre 2020, Marco Cecconi étudiait les sciences biomédicales à l’Université de Fribourg. N’ayant pas réussi à intégrer le cursus de médecine humaine, il travaille désormais en tant qu’ambulancier. © Charly Rappo – archives

Sophie Gremaud

Publié le 12.02.2024

Temps de lecture estimé : 10 minutes

Fin janvier, La Liberté attirait l’attention sur les problèmes liés à la formation des futurs médecins en Suisse (LL du 20.01.2024). Entre un numerus clausus désuet et la rigueur excessive des premières années du cursus universitaire, de nombreux étudiants se voient recalés. Tenaces, un nombre croissant de jeunes Helvètes optent pour l’exil afin de se former, contre vents et marées, au métier de leurs rêves. Et pour ceux qui parviennent à passer les étapes sélectives, c’est parfois au contact de la pratique clinique que le rêve se brise. Le surmenage et la charge administrative ruinent la motivation des jeunes docteurs, qui envisagent, parfois, de tourner le dos à la profession. Aujourd’hui la parole est aux principaux concernés. Marco, Alexis, Leah et Ambre* sont jeunes et animés par leur vocation médicale. T

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