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Suisse - Italie: La Nati a raison d’y croire

L’analyse des effectifs suisses et italiens illustre à quel point le duel à venir s’annonce équilibré. Le sera-t-il, samedi à Berlin?

Le dernier duel entre Federico Chiesa et Ruben Vargas remonte à novembre 2021 (1-1). Cette fois-ci, il y aura un vainqueur. © Keystone
Le dernier duel entre Federico Chiesa et Ruben Vargas remonte à novembre 2021 (1-1). Cette fois-ci, il y aura un vainqueur. © Keystone

Jonas Ruffieux, Berlin

Publié le 28.06.2024

Temps de lecture estimé : 6 minutes

Il y a trois ans, la Suisse abordait son 8e de finale de l’Euro dans la peau du tout-petit, celui qui avait tout à gagner, face à une France championne du monde en titre et grande favorite du tournoi. Samedi (18 h) à Berlin, ce sont les champions d’Europe sortants qui se dressent sur la route de la sélection nationale, mais la situation n’est pas comparable. Cette fois-ci, la Suisse regarde l’Italie les yeux dans les yeux. Du moins, avant ce duel qui s’annonce très équilibré. Analyse, avec l’appui de l’ancien professionnel fribourgeois Lucien Dénervaud.

1. Le gardien: avantage Italie

Sur le tournoi, Gianluigi Donnarumma surpasse non seulement Yann Sommer, mais l’ensemble des portiers, tant il s’est avéré décisif. «L’Italie lui doit sa qualification», note l’actuel entraîneur de Monthey, en 1re ligue. Epoustouflant, le dernier rempart du PSG avait frustré l’Espagne (0-1), qui n’avait marqué que par le concours d’un autogoal de Calafiori, malgré une domination de tous les instant

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