La Liberté

Un risque de malentendu

Léon Tâche, Broc

Publié le 19.02.2024

Temps de lecture estimé : moins d'1 minute

Dans sa lettre «La peur d’être frappé à l’école» du 12 février dernier, M. Jean-Philippe Buchs, à l’instar de différentes personnes, met en évidence la violence à l’école et les sévices qu’il a endurés. La gravité de ses propos, l’importance du sujet m’obligent à apporter une précision: d’entente avec lui et pour éviter tout malentendu, j’aimerais simplement ajouter que M. Jean-Philippe Buchs, même s’il habite actuellement à Broc, n’a jamais fréquenté les écoles de ce village. Il y va de l’intégrité et de l’honneur de ceux qui enseignaient à Broc au début des années 1970.

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