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Un Bond radical et iconoclaste

Le nouveau James Bond, Mourir peut attendre, a la lourde tâche de faire retourner les spectateurs dans les salles de cinéma. Il a tout pour réussir

Personne ne misait une livre sur Daniel Craig lorsqu’il a repris le smoking de 007 en 2006, il est pourtant fantastique. © Universal Pictures
Personne ne misait une livre sur Daniel Craig lorsqu’il a repris le smoking de 007 en 2006, il est pourtant fantastique. © Universal Pictures

Olivier Wyser

Publié le 01.10.2021

Temps de lecture estimé : 7 minutes

Cinéma » C’est sans doute la mission la plus compliquée de sa carrière, longue de 25 films: James Bond doit faire revenir les gens dans les salles de cinéma après deux ans de Covid-19 et l’introduction d’un passeport sanitaire loin de faire l’unanimité. Mais comme pourrait le dire son lointain cousin Tom Cruise alias Ethan Hunt, «rien n’est impossible» pour l’agent 007. C’est donc avec une certaine appréhension que l’on pénètre dans un temple du septième art pour voir ce Mourir peut attendre – sorti jeudi sur les écrans suisses, en avance sur la date internationale fixée au 6 octobre –, maintes fois reporté en raison de la pandémie et dont on raconte que la production a été troublée.

Verdict? Sans rien divulgâcher: Mourir peut attendre est sans doute le meilleur

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