«Il s’agit très probablement du loup et l’on peut penser que c’est le même individu qui a attaqué à Zénauva», indique Elias Pesenti, responsable du domaine faune terrestre et inspecteur de la chasse au Service des forêts et de la nature (SFN). L’agriculteur a contacté le garde-faune en début d’après-midi. «L’attaque a probablement eu lieu pendant la nuit. La procédure standard a été mise en place. Des prélèvements ADN ont été effectués», précise Elias Pesenti.

L’inspecteur de la chasse a demandé aux gardes-faune de faire des patrouilles de nuit avec des balles en caoutchouc dans la région où les deux attaques ont été commises à quelques jours d’intervalle. «Il s’agit de tirs d’effarouchement qui servent à montrer à l’animal qu’il ne doit pas s’approcher des parcs où il y a des animaux de rente.» Ces patrouilles auront lieu à la tombée de cette nuit et pourraient être reconduites les nuits suivantes.

Contrairement à la première attaque à Zénauva sur une brebis, les mouton