Un comité de gauche refuse l’extension de Frontex
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Asile » Selon ses opposants, l’agence de gardes-frontière ne doit pas recevoir 61 millions de la part de la Suisse.
Un mur «néocolonial». C’est ainsi que la conseillère nationale socialiste Valérie Piller Carrard qualifie l’infrastructure mise en place par les Etats de l’Union européenne (UE) et de Schengen pour protéger leur frontière extérieure. Chargée d’empêcher son franchissement, l’agence européenne de gardes-frontière et de gardes-côtes Frontex serait devenue le bras militarisé d’une politique «inhumaine», rendant «de plus en plus impossible la migration légale en provenance de pays tiers en bloquant presque totalement les corridors humanitaires».
Ce programme «isolationniste», appliqué en recourant à la violence contre les migrants, un comit&ea