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Coup de balai dans la botte

Après la victoire de Tao Geoghegan Hart l’automne dernier, les jeunes loups sont de retour sur le Giro

Patrick Biolley

Publié le 07.05.2021

Temps de lecture estimé : 9 minutes

Cyclisme » «J’ai fait les trois grands tours. Le Giro est le plus beau, le plus spectaculaire et surtout le plus imprévisible.» S’il ne sera pas en Italie cette année à cause de la pandémie et de ses obligations professionnelles, Daniel Atienza, comme beaucoup d’observateurs, entretient une relation spéciale avec le Giro, qui commence ce samedi à Turin. «Les coureurs doivent être tout de suite à 100%, il n’y a pas de round d’observation, renchérit Laurent Dufaux. Des finals en descente, des talus, des arrivées techniques, il est impossible de se cacher. Le Tour d’Italie est intéressant dès les premiers jours.» Ce qui définit le Giro est néanmoins sa difficulté. Une troisième semaine toujours très élevée et des étapes très longues, voire trop pour certains. L’ann&eacut

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