Quand les jeux d'enfants influencent l'architecture
Avec Architects at Play, la Fondation Pavillon Sicli se penche sur l’influence de l’imaginaire des jeux sur la création architecturale
Samuel Schellenberg/Le Courrier
Temps de lecture estimé : 2 minutes
Genève » D’abord montée au CIVA, espace bruxellois de réflexion sur le bâti, avant une étape lisboète, l’exposition Architects at Play a ici été largement reformulée.
Pour accompagner documents d’archives ou œuvres d’art, elle bénéficie de prêts importants du Musée suisse du jeu de La Tour-de-Peilz, «dont un osselet anatolien de 700 ans avant notre ère», sourit David Malaud, commissaire de la proposition.
Si l’exposition part de l’architecture, «elle veut aussi permettre au public de comprendre comment il joue», explique le commissaire. L’accrochage tient donc en partie de l’introspection, au gré d’un parcours très libre où chacun est invité à faire ses propres expériences. «Selon Sigmund Freud