Waldskin, de la clarté avant le crash
Le trio d’electronica, qui sort son premier opus, a préparé ses concerts lors d’une résidence à Fribourg
Tamara Bongard
Temps de lecture estimé : 4 minutes
Musique » Waldskin est un groupe tout récent, qui vient de sortir son premier album, mais qui est composé de musiciens affichant déjà des kilomètres de son au compteur. Il y a d’un côté Aurèle Louis et Maryam Hammad, qui avaient un projet indie-folk se dirigeant depuis deux ans vers l’électro (Marey), et de l’autre Nathan Gros, batteur fribourgeois d’Hubris et ingénieur son. Ce dernier était à la table de mixage lors d’un concert du duo à Zurich. Le courant musical a bien passé (Aurèle et Nathan se connaissaient déjà du studio de la Fonderie). Les deux musiciens de Marey lui ont demandé s’il avait de l’expérience avec des batteries électroniques et des synthétiseurs. C’était le cas. Le duo est donc devenu un trio, qui a métamorphosé son style pour diffuser dé