Le chant de l’alto
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Vingtième siècle » C’est une œuvre contemplative, d’envergure religieuse voire mystique, mais qui ne comprend pas de texte. Ecrite pour violon solo et continuo, elle est purement instrumentale. C’est le travail avec une chorégraphe, pour un contexte scénique, qui a poussé la violoniste Amandine Beyer à cette lecture discographique, où elle insiste beaucoup sur le mouvement des allemandes, gigues, sarabandes, gavottes ou la passacaille finale qui la composent. Les 15 + 1 Sonates du Rosaire ou Sonates du Mystère de Biber poussent la virtuosité du violon à son paroxysme en ce XVIIe siècle. Elles s’appuient sur la technique de la scordatura, avec des accords des cordes chaque fois différents, et sont d’une formidable inventivité! Violone, viole de gambe, archiluth, théorbe, clavecin ou petit orgue en varient la portée. EH
Timot