Les dinosaures en action sont toujours un plaisir
ETIENNE REY
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Jurassic World 3 » Voilà près de vingt ans, Steven Spielberg réalisait le fantasme ultime de tous les petits et grands enfants du monde: réunir (de manière crédible) l’Homme et le dinosaure. C’était Jurassic Park, un succès planétaire, une œuvre cinématographique charnière et le début d’une vaste saga qui n’allait pas s’améliorer avec le temps. Il s’agissait certes de faire du divertissement avant tout mais le film posait néanmoins d’intelligentes questions autour de la manipulation génétique et de l’éthique scientifique. À la vue de ce sixième opus de la franchise, Jurassic World: Le monde d’après, il semble évident que l’intelligence a désormais fait place à la fantaisie.
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