Mais pourquoi? La question se pose. Et je suspecte fortement que vous vous la posiez à la lecture de ces quelques lignes. Pourquoi ces deux quadragénaires au prénom similaire et ma foi (trop?) répandu dans les années 1970 (merci Monaco) se sont-elles inscrites à un cours d’aquagym? Elles vous diront qu’il était mentionné: «aquafit strong» dans l’intitulé et que cela semblait prometteur pour peaufiner leur «summerbody» (merci les ados et leur langage). Pourquoi ont-elles décidé de barboter chaque semaine entre un cours de bébés nageurs, qui n’ont pas conscience des jolis bourrelets qui ornent leurs cuisses de poulets tout frais, et de seniors qui ont déjà oublié jusqu’à leur existence à peine entrés dans l’eau? Pourquoi ont-elles enfilé des gilets à l’esthétique douteuse genre rôti ficelé prêt pour la grillade? Pourquoi ont-elles digéré de ne pas réussir à réaliser certains exercices en rêvant de rejoindre, comme des ouragans, le bassin, chauffé lui, des bébés? Pourquoi pas, en fait…