Paradise Island, aux Bahamas. Une île large d’à peine un kilomètre, où plages paradisiaques, palmiers et casinos se font du pied. Au milieu de ce lopin de sable fin s’érige un monstre orangé, plus vieillissant que rutilant: l’hôtel Atlantis. L’endroit a des allures de Las Vegas, les aquariums à requins en plus et le désert en moins. Mais depuis deux jours, les aficionados du balnéaire et du buffet à gogo ont laissé la vedette à une tout autre population.

Exceptionnellement, les cocktails coupés à l’eau ne couleront pas à flot autour de la piscine. En tout cas pas tout de suite. Les nouveaux clients sont moins là pour se dorer la pilule et s’en mettre plein la panse que pour arracher une qualification oly